(Écrit en anglais par Comandante Fidel; traduit au français par Fernando)
Ce blog appartient à Buenos Aires, une ville de presque quatorze millions de personnes; nous avons aussi un blogger à Cordoba, la seconde ville d´Argentine avec deux millions d´ âmes. Nous voulons raconter des histoires sur notre Ville : « elle » (créature féminine, comme des autres mégalopoles partout dans le monde) et ses gens.
Ce post s´appelle des personnes en mouvement. Celui-ci à été préparé en anglais par un des nos intégrants et traduit au français par un autre d´entre nous. Notre idée est de « poster » régulièrement en anglais et en français. Veuillez nous excuser par nos fautes, nous espérons que vous pourrez nous comprendre malgré tout.
Comment vous décrire cette cité ? Buenos Aires n´est pas comme Paris, Londres, Moscou o New York. On n´a rien qui se paresse à la Tour Eiffel, le Big Ben, le Red Square ou le Empire State Building… On n´a point des paysages comme Rio de Janeiro, San Francisco, Genève, Cape Town ou Naples. Buenos Aires n´est pas une ville futuriste comme Tokyo, Hong Kong, Singapore ou Berlin. Elle n´est pas si ancienne que Glasgow, Madrid, Beijing, Le Caire, Rome ou Dubrovnik et n´a pas le glamour de Stockholm, Milano, Venise, München, Bombay, Salvador do Bahía et d´autres charmantes et excentriques cités autour du monde. Elle parait ¿Chicago? Sans tenir en compte les différences entre le premier et le tiers monde bien entendu, ses histoires, sa place… je crois que cela peut vous guider un peu.
J´en parle, bien entendu, pour ceux qui ne sont jamais vénus en Argentine. Nous sommes au trou du cul du monde (on y est conscients) mais on se fout de ça dans ce blog.
Buenos Aires est une des plus grandes villes au monde. Elle n´est pas si impressionnante que d´autres mais on croit qu´elle est très spéciale quand même. Sans avoir les spectaculaires scénarios de New York ou San Francisco, la beauté de la ville vit dans sa culture, les mythes de ses coins de rues, la nuit, le tango…
Placée dans les côtes de la rivière la plus large au monde (la Mer Douce, comme l´ appelaient les conquéreurs espagnols il y a cinq cents années), elle est séparée par quatre-vingt kilomètres de Colonia de Sacramento (Uruguay) dans la rive d´en face. Colonia peut être aperçue ici si on se place à peu près dans une vingtième étage des édifices qui sont près de la rive.
« La Reina del Plata » (La Reine du Plata) est en effet plusieurs villes dans une qui les rejoigne. En traversant par des édifices de cristal et fer du centre ville, les mêmes que vous pouvez trouver à La Défense, vous arrivez à des rues qui ressemblent un peu au Quartier Latin. L´ esprit cosmopolite que l´immigration massive a crée peut surprendre: on trouve un coin de rue où les rues nommés État d´Israël et Palestine se croissent, pas très loin des quartiers commerciales où les classes moyennes descendants des religions juives et musulmanes boivent « mate » ensemble. Grandes communautés de fils et grand fils d´italiens, espagnols et syriens; aussi des coréens, chinois, russes, polaques, ukrainiens, allemands, japonais, arméniens, juifs d´Europe oriental, quelques africains en centroaméricains récemment arrivés, et d´importantes quantités de personnes qui sont arrivés en Argentine en différents moments historiques (exile, faim, Guerre Mondiale, « faire l´Amérique »). On a aussi un grande communauté des immigrants des pays voisins : Uruguay, Paraguay, Bolivie, Pérou.
Au début on avait pensé à écrire sur notre culture, histoire, expériences, beautés, problèmes, folies, curiosités et tout autre chose qui se passait ici, mais on a préféré vous inviter à nous demander de raconter ce qui vous intéresse. On est plusieurs bloggers qui, chaqu´ un à sa fois, parlent de son monde particulier trouvé dans la grande cité.
Quelque chose d´autre à raconter en ce premier post? Je ne crois pas. On vit dans un ville au sud, où il n´ a passé aucune chose d´important pendant le dernier siècle sauf la Guerre des Malouines. Maintenant le monde est un lieu plus petit. Et ici, comme partout, les gens sont en mouvement… jusqu´ où ? Je crois que nous ne savons pas encore, mais quand même on est conscients partout au monde de nager dans une mer de problèmes globaux.
Vous pensez visiter notre cité? Qu´est-ce que vous voulez savoir? Vous voulez qu´on raconte sur notre vie, nos coins, nos points dangereux, nos points de rêve? On est ici, essayez-nous!
Soyez nos invités, nos critiques. Avez- vous déjà été à Buenos Aires? Alors on attend vôtres histoires. Cependant on essayera de continuer a écrire en français et en anglais.
On n´a fait que commencer, et on attend vos commentaires.
À bientôt, merci de nous visiter, et soyez les bienvenus.
Así como el asfalto esconde al viejo empedrado de las calles, la historia oficial esconde ese empate de olvidos y recuerdos que forman la memoria colectiva de nuestro damero urbano. Este weblog de voces múltiples nos habla de un espacio en común habitado por mundos a descubrir ¡vamos a andar!
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La Reina del Plata vista por un pájaro(n)
Hace un tiempo tuve la oportunidad de viajar al sur en avión en un día maravilloso (lo que algunos llamaríamos "un día peronista")...
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2 comentarios:
Que sorpesa! el Comandante no me había dicho que también íbamos a salir en francés.
PD: No digas si. Di oui!
Mon premier jour au Buenos Aires (L'arrivée) avec mon ami Carlos Fonrouge: une petit femme et ses amis du Pont Alsinna(?) a metro (écoles?): "Bonjour monsieur. Ce sont mes amis, ils ne parlent pas (ja ja) ils ne parlent francois" Carlos: "Que désirez vouz?" Petit femme: "De quoi parles-tu?" Carlos: "Nous..." Petit femme: Ah! vous étes étranger? Carlos: Oui; pardon mademoiselle, la Place du La Republique, síl vous plait? Petit femme: "Non, je ne parle pas plus" (!)... Ah, mon chéri comme ce métro est fatigant! à la station "Carlos Pellegrinni"Que de mond! Les gens marchaient rapidement ou couraient dans les longs couloirs!
La belle Buenos Aires... Sacré-coeur! Merci beaucoup. Voilà, c'est fini
Arrevoir! (Le Adroit)
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